En consacrant une exposition monographique au peintre catalan, espagnol et parisien José María Sert, le Petit Palais a brillamment relevé un double défi : d’abord, intéresser le public à une figure glorifiée en son temps – essentiellement celui de l’entre-deux-guerres – par une société cosmopolite riche et mondaine puis tombé dans l’ostracisme et le mépris à cause tout autant de son adhésion au franquisme que de la nature même de . . . → En lire plus