Cours 9 : Velazquez et l’Immaculée Conception

Diego Velázquez, Immaculée Conception, c. 1618, h/t, 135 x 101,6 Londres, NG. Luis de Vargas, Allégorie de l’Immaculée Conception, 1561, h/b, Séville, cathédrale. Fernando Esturmio, Apparition de l’Immaculée Conception à sainte Anne et saint Joachim, h/b, Osuna, collégiale (crypte). Cavalier d’Arpin, Immaculée Conception, c. 1607, h/t, Madrid, Académie de San Fernando. Juan de Roelas, Triomphe de l’Immaculée Conception, 1616, h/t, Valladolid, musée national de sculpture. Pedro Valpuesta, Philippe IV prêtant . . . → En lire plus

A la recherche des toiles du « Chemin de Croix » de la cathédrale de Verdun

Les dix toiles du "Chemin de Croix" de la cathédrale de Verdun

En restauration depuis 1998, les dix toiles du « Chemin de Croix » de la Cathédrale de Verdun vont réintégrer leur lieu d’origine prochainement. A cette occasion, le service de la conservation des monuments historiques de la Direction régionale des affaires culturelles de Lorraine a lancé une étude sur ces toiles dont la provenance n’est pas documentée. . . . → En lire plus

La belle Lamentation du musée Haggerty (Milwaukee) est-elle vraiment de Juan Correa de Vivar ?

C’est avec joie que j’ai découvert ce blog et que je m’empresse d’y participer en faisant part d’une découverte récente qui concerne un tableau appartenant au Patrick and Beatrice Haggerty Museum of Art de l’université Marquette, à Milwaukee, dans le Wisconsin, intitulé par le musée The Lamentation of Mary over the Body of Christ with Angels Holding the Symbols of the Passion et attribué à Juan Correa de Vivar . . . → En lire plus

Un Goya sous le tapir ?

Il ne se passe pas un mois, une semaine, un jour presque, sans qu’un nouveau tableau attribué à Goya ne fasse surface.

Souvent fantaisistes, rares sont les attributions qui s’accompagnent d’une publication scientifique. L’estimable revue Goya éditée par la Fondation Lazaro Galdiano s’est pourtant faite l’écho d’une de ces propositions dans son numéro de juillet-septembre 2011 (n° 336 / p. 242-253).

Le tableau considéré est un double portrait d’un tapir . . . → En lire plus